Alban bonjour,
Quelles sont tes premières impressions sur cette expérience et ce parcours ?
➝ « C’est une belle aventure, mais ça change du quotidien à la campagne. Ici, tout va plus vite, alors qu’au village, on prend le temps de bien faire les choses. Mais c’est intéressant de voir comment ça fonctionne ailleurs. »

Quel a été le déclic qui t’a poussé à te lancer dans cette compétition ?
➝ « J’ai toujours aimé travailler avec mes mains et être proche de la nature et des animaux. Chez nous, on a grandi avec les saisons, le travail de la terre, les bêtes… Alors ça m’a paru naturel de suivre cette aventure, plutôt que d’aller m’enfermer dans un bureau. »

Quels sont les plus grands défis que tu as rencontrés et comment les as-tu surmontés ?
➝ « Le plus dur, c’est que l’ effort ne s’arrête jamais. Chez moi, il n’y a pas d’horaires fixes, il faut être là quand il faut, que ce soit pour les récoltes, les animaux ou les imprévus. Mais on s’adapte, on apprend à écouter la nature et à trouver des solutions au jour le jour. »

Quels conseils donnerais-tu à quelqu’un qui souhaite suivre un parcours similaire au tiens ?
➝ « Il faut être passionné et ne pas avoir peur de se salir les mains. La vraie vie, c’est du boulot, mais c’est aussi une grande liberté. Si tu aimes la nature, et les copains et que tu veux du concret, fonce, mais sois prêt à t’investir à fond. »

Pour conclure, si une intelligence artificielle venait te donner des conseils pour améliorer ton jeu, tu l’écouterais ou tu lui répondrais avec un proverbe bien de chez toi ?

➝ « Oh, ces machines, ça cause beaucoup mais ça n’a jamais remplacé un bonhomme !
Je lui dirais : ‘C’est pas en regardant un coq chanter qu’on apprend à faire des omelettes’, et je continuerais à jouer comme on l’a toujours fait, avec du bon sens et de la sueur ! »